Article Final

Publié: août 17, 2013 dans Uncategorized

Introduction

J’ai choisi d’effectuer ses interventions pour des jeunes de 10-18 ans, qui sont placés par le juge dans une SAAE (Service d’accueil et d’aide éducative) car souvent ces jeunes sont violents entre eux ou ont eux-mêmes subi un type de violence.

Les jeunes deviennent de plus en plus violents entre eux. Les jeunes ne réalisent pas à quel point ils peuvent cette violence peut faire. De plus, les médias manipulent en nous montrant dans la plupart des cas, des images violentes.

Rapport aux médias

 

Sous n’importe quelles  formes médiatiques, la violence joue un grand rôle, que ce soit par les reportages télévisés, les films, l’internet, les journaux, etc. Les médias, étant omniprésents dans nos vies, les jeunes sont de plus en plus en contact avec des images violentes. On pourrait penser que ces images ont des répercussions directes sur les comportements des jeunes parce qu’ils sont en pleine découverte de leurs moyens donc, ils sont plus influençables.

 

Nous pouvons donc poser la question suivante: est-ce que les images véhiculées par les médias ont une part de responsabilités dans les actes de violence chez les jeunes. Notre variable indépendante pour cette question sont les images de violence véhiculées par les médias et la variable dépendante sont les actes de violences chez les jeunes.

 

Par médias, nous voulons souligner toutes les formes médiatiques existantes,   soit la radio, les journaux, l’Internet, les films, la publicité et la télévision. Par jeunes, nous entendons toutes les personnes ayant moins de 20 ans. Par violence, nous désignons tous les actes blessants, discriminants à l’égard d’autrui, que ce soit sur le plan physique ou psychologique.

 

Identification des besoins

  • Ils ont besoin de prendre du recul par rapport aux images vidéo qu’il voit dans les médias
  •  Ils ont besoin de canaliser cette violence
  •   Ils ont besoin aussi de prendre conscience de cette violence qui existe

Justification

Lors de mon stage, j’ai remarqué que les jeunes étaient tous violents entre eux mais aussi envers les éducateurs. Ils regardent souvent à la télévision des films violents. Ils sont toujours en train d’insulter, de se dévaloriser entre eux parfois ils en viennent aux mains. Sans s’en rendre compte, les médias jouent un rôle important dans cette violence. Il est très important, je pense, que les jeunes comprennent les conséquences d’un acte violent. Ces vidéos leur permettront de réaliser comment ils peuvent être violents.

J’ai trouvé un article sur la violence qui m’a touché et déterminé à choisir ce sujet :

http://www.jeunesviolencesecoute.fr/pour-tous/temoignages.html

Interventions

Contexte

J’aimerais d’abord leur montrer plusieurs vidéos, témoignages, articles mais également leur donner plusieurs exemples de violence. Je leur parlerais également des jeux violents tel que le jeu du foulard, c’est un étranglement volontaire, réalisé seul ou à plusieurs, dont l’objectif est de vivre une expérience, de connaître des sensations nouvelles. Voici un article qui le montre très bien : http://www.jeuxdangereux.fr/

Témoignages : http://www.jeunesviolencesecoute.fr/pour-tous/temoignages.html

Articles : http://sante-medecine.commentcamarche.net/contents/949-violence-chez-les-jeunes-a-l-ecole http://www.who.int/violence_injury_prevention/violence/world_report/factsheets/en/youth_fr.pdf

Objectifs

  • Les sensibiliser face à la violence des médias
  •  Leur faire prendre conscience que les médias influencent beaucoup le fait qu’il soit influencé par la violence des jeunes
  • Canaliser cette violence
  •  Leur apprendre à être moins violents

Déroulement

Je leur parlerais d’abord des différents types de violence qui peuvent nous atteindre ou qu’on peut faire à quelqu’un.

Types de violence

« La violence à l’école revêt différentes formes : agression verbale (souvent due au racisme), intrusion dans un lieu interdit, atteinte aux biens (tags), agression physique, racket, trafic de drogue, port d’armes ou d’objet dangereux. »

http://violencechezlesjeunes.centerblog.net/6–II-LES-DIFFERENTES-FORMES-DE-VIOLENCE-CHEZ-LES-JEUNES

Analyse

Justification du choix

J’ai choisi  ce thème car je trouve que de nos jours, les jeunes sont vraiment très violents entre eux. De plus, les médias favorisent la violence. Les clips vidéo la favorisent aussi. Partout, on voit de la violence ce qui influence beaucoup le jeune à être violent. Sans s’en rendre compte, il prend exemple sur les médias renvoyant de la violence.

Ce site internet m’a beaucoup touché et interpelé, celui-ci m’a permis de faire mon choix : http://www.jeunesviolencesecoute.fr/pour-tous/temoignages.html

Article final

Publié: janvier 18, 2013 dans Uncategorized

Public

Rapport aux médias

Sous n’importe quelles  formes médiatiques, la violence joue un grand rôle, que ce soit par les reportages télévisés, les films, l’internet, les journaux, etc. Les médias, étant omniprésents dans nos vies, les jeunes sont de plus en plus en contact avec des images violentes. On pourrait penser que ces images ont des répercussions directes sur les comportements des jeunes parce qu’ils sont en pleine découverte de leurs moyens donc, ils sont plus influençables.

Nous pouvons donc poser la question suivante: est-ce que les images véhiculées par les médias ont une part de responsabilités dans les actes de violence chez les jeunes. Notre variable indépendante pour cette question sont les images de violence véhiculées par les médias et la variable dépendante sont les actes de violences chez les jeunes.

Par médias, nous voulons souligner toutes les formes médiatiques existantes, soit la radio, les journaux, l’Internet, les films, la publicité et la télévision. Par jeunes, nous entendons toutes les personnes ayant moins de 20 ans. Par violence, nous désignons tous les actes blessants, discriminants à l’égard d’autrui, que ce soit sur le plan physique ou psychologique.

Identification des besoins

®    Ils ont besoin de prendre du recul par rapport aux images vidéo qu’il voit dans les médias

®    Ils ont besoin de canaliser cette violence

®    Ils ont besoin aussi de prendre conscience de cette violence qui existe

Justification (expériences, articles de référence)

Lors de mon stage, j’ai remarqué que les jeunes étaient tous violents entre eux mais aussi envers les éducateurs. Ils regardent souvent à la télévision des films violents. Ils sont toujours en train d’insulter, de se dévaloriser entre eux parfois ils en viennent aux mains. Sans s’en rendre compte, les médias jouent un rôle important dans cette violence.

Interventions

Contexte

®    Les sensibiliser à l’aide de vidéos et d’articles

Objectifs

®    Les sensibiliser face à la violence des médias

®    Leur faire prendre conscience que les médias influencent beaucoup le fait qu’il soit influencé par la violence des jeunes

®    Canaliser cette violence

®    Leur apprendre à être moins violents

Déroulement

Je leur montrerais des vidéos des médias qui reflètent de la violence. Je leur montrerais aussi cette influence à l’aide d’article et de vidéos. Mais aussi des vidéos des jeunes qui sont violents entre eux.

Analyse

Justification du choix

J’ai choisi  ce thème car je trouve que de nos jours, les jeunes sont vraiment très violents entre eux. De plus, les médias favorisent la violence. Les clips vidéo la favorisent aussi. Partout, on voit de la violence ce qui influence beaucoup le jeune à être violent. Sans s’en rendre compte, il prend exemple sur les médias renvoyant de la violence.

Conclusion

En conclusion, je dirais qu’il faut tout d’abord les parents doivent faire attention à ce que regardent les enfants. J’espère que cette intervention les fera prendre conscience de cette violence qui est renforcée par les médias. Ma finalité est qu’ils soient moins violents entre eux et qu’ils soient capables de prendre du recul par rapport à cette violence.

 

 

Les enfants ou pré-adolescents sont les plus concernés face à l’influence des médias, qui peut avoir une influence sur leur comportement. La télévision est le média qui a le plus d’influence sur les jeunes. De plus, ils sont fréquemment exposés à la violence dans les médias et de plus en plus jeunes. On observe trois réactions:

L’augmentation de la peur

Les enfants en particulier les filles sont plus vulnérables que les adultes face à la brutalité des médias ce qui peut les rendre plus craintifs devant le monde qui les entourent et qui peut entraîner des problèmes de développement.

La désensibilisation face à la violence

A force de voir de la violence tout le temps dans les médias, on pense que c’est normal. Certaines émissions peuvent être brutales et n’exposent pas les conséquences d’un tel comportement. Donc, l’enfant ne se rendra pas compte des conséquences de ce comportement. Comme dans les médias, on n’évoque pas vraiment les conséquences réelles de la violence.

Augmentation du comportement agressif

Cette réaction est vrai uniquement pour les jeunes enfants susceptibles d’avoir un comportement agressif après avoir regardé un film violent. « En effet un enfant aurait tenté de tuer ces parents après avoir visionner le film d’horreur ‘scream’ où encore des nombreuses émeutes à la sortie des cinémas quand des films violent étaient à l’affiche ».

Malgré les efforts sociaux pour lutter contre la violence, malgré les campagnes de sensibilisation, les programmes de prévention et les politiques de tolérance zéro à l’égard de la violence, il y en a toujours autant si ce n’est plus surtout chez les jeunes et particulièrement en milieu scolaire. (Prud’homme, 2002).

Des études faites  en Amérique du Nord indiquent que 10% à 25% des élèves
connaîtraient durant leur cheminement scolaire des problèmes liés aux différentes formes de violence : physique, verbale ou psychologique.

Selon le rapport du Ministère de la Sécurité publique intitulé Les jeunes et le taxage au Québec (2003) et portant sur une vaste étude réalisée auprès de 16 600 jeunes de niveau primaire et secondaire, on note que: 62% des jeunes sont affectés par le phénomène du taxage; 11% des jeunes confient avoir été victimes de taxage; 6% des jeunes révèlent avoir déjà tenté de faire ou ont fait du taxage et 50% des jeunes disent avoir peur de se
faire taxer. Toujours selon cette étude, on note que six victimes sur dix sont des garçons; sept auteurs de taxage sur dix sont des garçons et que six jeunes sur dix qui disent avoir peur d’être taxés sont des filles. Chez ces dernières, la forme de violence la plus présente est d’ordre sociale: à savoir, le rejet social de la victime (par isolement d’avec les pairs).

Le taxage n’est qu’une forme parmi tant d’autres dans le milieu scolaire. Cette forme est plus fréquente chez les garçons. Chez les filles, le plus fréquent c’est le rejet social de la victime. Une autre forme de violence, c’est la dynamique de domination.

Plus de violence

L’Observatoire national de la délinquance a publié récemment un rapport qui analyse les rapports des mineurs avec les forces de l’ordre. Première analyse : le nombre de mises en cause pour « violence physique » (coups et blessures, vols avec violence, rackets, menaces, chantages, viols…) a augmenté de 55 % entre 1996 et 2003. On est ainsi passé de 24 000 cas à 37 000 en moins de huit ans. Et dans 20 % des cas, des ados sont impliqués. Dans le détail, on peut distinguer plusieurs cas dans lesquels les hausses sont importantes :

  • Violences physiques « non crapuleuses » : + 83 % ;
  • Coups et blessures volontaires : + 68 % ;
  • Violences aux représentants l’autorité : + 83 % ;
  • Violences sexuelles : + 68 %.

Les violences quotidiennes

Un rapport de l’Inserm sur les violences dans les collèges et lycées ressemblent quelque peu celui de l’observatoire de la délinquance. Ce travail a étudié les réponses de 16 500 élèves sur la violence dans le cadre de l’enquête Espad (enquête européenne sur les addictions chez les jeunes, menée de 1999 à 2003). Résultat : la violence semble effectivement augmenter dans les collèges et lycées, mais ce sont essentiellement les petits actes de violence « ordinaire » qui connaissent la plus forte augmentation :

  • Dégradation de biens publics ou privés (+ 35 % chez les garçons et + 49 % chez les filles entre 1999 et 2003) ;
  • Vol d’objets de plus de 15 Euros (+ 15 % chez les garçons, + 29 % chez les filles) ;
  • Bagarre, etc.

Par contre, les actes de violence plus graves tels que frapper un professeur, mettre le feu, menacer d’une arme ne progressent pas véritablement. On remarque  des différences d’évolution selon les sexes. Les violences les plus graves sont généralement faites par les hommes. Mais certains comportements progressent plutôt chez les filles : les bagarres, le vol (dans les boutiques)… Certes il convient dans tous les cas de nuancer ces chiffres : ils restent basés sur les déclarations des élèves…

Des jeunes en crise d’identité

De nos jours, le jeune devient un citoyen actif de notre société d’adultes plus tardivement.
L’adolescence c’est une phase de changements importants. Le jeune recherche une identification, un exemple à suivre qui sera pour lui un héros, une référence à suivre. Dans certains cas, le jeune reproduit le comportement du grand frère s’il en a un.

L’adolescence est une période de dépréciation de soi. Cela peut amener le jeune à être violent. L’adolescence est surtout la période de déni, du refus du cadre et des règles de la société avec un besoin de transgresser. C’est aussi une période d’engagement, de l’adhésion aux grandes causes humanitaires, sociales. C’est sur ces valeurs qu’il faut s’appuyer pour motiver le jeune à réussir.

Les facteurs individuels

  • La cellule familiale est importante. La famille est le premier lieu de socialisation  et d’éducation de l’enfant.
  • La personnalité de l’enfant: il peut plonger dans une mort sociale en exprimant sa violence par des actes antisociaux.
  • Le chômage favorise une forte augmentation de violence dans les quartiers où le taux de chômages est plus important.
  • Les médias : ils influencent les gens par des messages politiques, culturels et de consomation. On ne peut pas nier l’influence de certaines images de violence et d’acte de délinquance.

Une violence «stupide et barbare» ou encore «gratuite», une «sauvagerie inouïe», la meme idée  ressort dans les médias à l’occasion de chaque fait divers violent impliquant des jeunes et une violence extrême non crapuleuse, c’est-à-dire qui échappe aux explications qui mettent en avant des motivations matérielles, financières.

Avec le drame d’Echirolles, et la mort de deux jeunes de 21 ans frappés à coups d’armes blanches et d’outils par d’autres jeunes à peine majeurs, c’est à nouveau l’esprit de la violence «gratuite», de l’«ultraviolence» des jeunes et de leur «barbarie» qui revient. « La charge symbolique est d’autant plus forte que Grenoble et ses quartiers difficiles sont désormais associés à la violence depuis le discours sur la sécurité de Nicolas Sarkozy du 30 juillet 2010, qui faisait suite à des affrontements entre des jeunes du quartier de La Villeneuve et des policiers après la mort d’un jeune au cours d’un braquage. »

Contrairement à la série de règlements de compte à Marseille, qui concerne des mineurs impliqués à divers échelles dans des trafics, une violence qui touche des «innocents» émeut beaucoup plus l’opinion. La raison est simple: chacun peut s’identifier aux victimes puisqu’elles n’ont rien fait pour mériter cela, sont décrites comme «sans histoire», parfois ayant un parcours exemplaire, comme l’a souligné Manuel Valls le 2 octobre sur France 2… C’est non seulement le profil élogieux des victimes mais aussi l’apparente absence de motivation de l’acte qui désarçonne, émeut, inquiète, traumatise.

La hausse des violences non crapuleuses

Pour les statistiques de la délinquance, ces formes de violence qui peuvent être identiques dans leurs conséquences (violence physique voire meurtre) se distinguent selon que les auteurs agissent d’une manière «rationnelle» –pour défendre un territoire, un marché, pour s’accaparer un bien– ou se conduisent d’une manière qui nous semble inexplicable: la violence est alors «non crapuleuse», dans le vocabulaire judiciaire et policier. C’est cette catégorie de violence qui augmente régulièrement dans l’ensemble de la population.

Dans son dernier rapport annuel, l’Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales (ONDRP) détaille les évolutions 2005-2010 de ces deux grandes familles des violences enregistrées par les services de police et de gendarmerie en France métropolitaine.

Si les premières, les violences crapuleuses (vols à main armée, vols avec arme blanche, règlements de compte, etc.) diminuent de quelques milliers (elles passent sur la période étudiée de près de 125.000 à 121.000), en revanche les violences non crapuleuses passent de 188.500 à plus de 241.000!

Mais cela n’explique pas des faits hors normes par leurs conséquences mortelles, comme celui de Florensac (Hérault) ou, plus récemment, la tuerie d’Echirolles.

Pourquoi sont-ils aussi méchants? «La violence enragée»

Professeur à l’université de Bordeaux et directeur de recherches à l’EHESS, spécialiste des mouvements sociaux, de l’éducation et de la marginalité des jeunes, le sociologue François Dubet avait proposé, dans un article de 2003 intitulé «A propos de la violence des jeunes» une typologie de ces violences.

Il notait déjà que «ni la crise de la socialisation, ni la communauté des gangs, ni l’intérêt délinquant ne suffisent à expliquer la violence juvénile en ce qu’elle peut avoir d’excessif, de « méchant » dans le vandalisme, l’agression « sans objet », l’injure. Cette méchanceté ne relève pas d’un mécanisme de réponse à l’agression, elle apparaît comme « gratuite » à la manière des héros d’Orange mécanique».

Ils ont proposé alors d’évoquer une «violence enragée» pour rendre compte de cette violence qui semble à la fois sans motivation et sans objet défini.

«C’est un travail réalisé il y a un certain temps (d’abord publié dans La Galère: jeunes en survie en 1987, NDLR) explique à Slate.fr le sociologue, mais les conclusions constituent une bonne grille d’analyse du cas d’Echirolles. A l’époque, ce qui m’avait frappé, c’est que ces jeunes avaient un sentiment assez profond d’injustice, d’exclusion et de marginalité.»

A partir de ses études de terrain sur des quartiers des banlieues lyonnaises et parisiennes, François Dubet voyait une forme de violence nouvelle apparaître.

«Depuis la disparition déjà assez ancienne des mouvements sociaux, syndicats, partis politiques qui canalisaient cette colère, on a affaire à ce que j’ai nommé « la rage », « la haine ».

Ces jeunes ont de la haine sans objet, donc elle peut se porter sur n’importe quoi. Sur la police. Ou sur le « petit-bourgeois » qui habite à côté, contre l’autre cité, ou l’autre immeuble. Ce sont des gens qui ont une colère qui ne trouve pas d’objet.»

Elle peut ausi se fixer «d’abord sur eux-mêmes: comme quand ils saccagent l’école maternelle du quartier, c’est totalement idiot».

Le regard, confirmation du jugement de l’autre

L’autre fait que remarque le sociologue, c’est cette «hypersensibilité au jugement des autres: quand vous n’êtes pas assuré de votre identité, d’être qui vous êtes, le jugement des autres devient une obsession. D’où cette obsession du regard», dont on a encore parlé à l’occasion du drame d’Echirolles –«Pour un simple regard de travers», selon la formule désormais consacrée.

«Dans cette sorte d’absence d’assurance intérieure très forte, les jeunes vont chercher dans le regard des autres la confirmation de leur statut.»

«La conscience de classe» donnait «un sens à la situation subie» comme «à la domination sociale» qui était «nommée et désignée», écrivait alors le chercheur. Or dans la situation d’anomie sociale des jeunes des quartiers, c’est aussi un récit explicatif et un cadre d’analyse de leur place dans la société qui fait défaut. Avec le risque de se laisser réduire au jugement négatif des autres.

François Dubet complète:

«Ils ont intériorisé de manière tragique un sentiment d’échec. On vous rappelle que vous pourriez réussir à l’école, consommer, avoir un travail, etc. Mais que rien ne marche… Ils accusent la société mais gardent un doute sur le fait que ça puisse être de leur faute. D’où une certaine hostilité envers ceux qui s’en sortent.»

article 1

Publié: novembre 6, 2012 dans besoins, intervention, justification, objectifs, public

Public :

Jeunes adolescents de 12 à 18 ans, jeunes violents entre eux.

Justification

J’ai choisi  ce thème car je trouve que de nos jours, les jeunes sont vraiment très violents entre eux. De plus, les médias favorisent la violence. Les clips vidéo la favorisent aussi. Partout, on voit de la violence ce qui influence beaucoup le jeune à être violent.

Objectifs :

Les objectifs sont être moins violent , prendre conscience de cette violence qui ne fait qu’augmenter et canaliser cette violence.

Besoins :

Les besoins sont de canaliser leur violence.

Intervention

Mes interventions sont leur montrer plusieurs vidéos où des jeunes sont violents entre eux pour leur faire prendre conscience de ce que ressentent les personnes violentées  ainsi que leur montrer comment les médias les influencent à être violent à l’aide d’articles et de vidéos. Mais aussi de canaliser leur violence.